Le Chien

Le chien 2018-01-14T18:37:20+00:00

L’entretien

Vous vous nettoyez les oreilles ! Et bien eux aussi en ont besoin et ne peuvent le faire seul !

Il faut faire un nettoyage une fois par mois minimum, avec un produit spécial pour décoller le cérumen des oreilles, afin d’éviter l’accumulation de saletés pouvant conduire à une otite.

Il ne faut surtout pas enfoncer un coton tige dans le conduit au risque de former un bouchon de cérumen.

De nombreux chiens ont les yeux qui coulent en permanence.
Afin d’éviter l’apparition de traces brunes inesthétiques sous les yeux, il est utile de faire très régulièrement un nettoyage avec un produit adapté.

Ne lavez jamais votre chien avec un shampooing ou un gel douche pour humains.

Le pH de sa peau n’est pas du tout le même que celui de la votre, et ce produit risque donc de lui irriter la peau.

Pour les petits chiens, un shampooing par mois est un bon rythme; pour les plus grands, la fréquence est plus fonction de l’aspect du poil et peut être bien plus espacée.

Pour éviter l’accumulation de tartre et la mauvaise haleine qui l’accompagne, il est important de s’occuper de la « bouche » de votre chien.

Habituez-le dès le plus jeune âge aux croquettes plutôt qu’à la pâtée qui a tendance à coller aux dents.

La plaque dentaire mettant 24 heures à « coller » aux dents, le fait de brosser les dents une fois par jour après le repas est la solution la plus efficace.

Si votre animal est trop « récalcitrant », il existe des liquides, des poudres à mettre sur son alimentation, et des lamelles à mâcher qui ont une action réelle sur le dépôt du tartre.

Enfin, pensez à « offrir » à votre animal un détartrage dès que les gencives commencent à être inflammées, car c’est à ce moment qu’il commence à avoir mal et que si on attend trop, les gencives commencent à se rétracter et les dents commencent à bouger.

• Une bonne hygiène des dents, pourquoi ?
80 % des chiens âgés de plus de 3 ans présentent des problèmes dentaires. Dès l’éruption des dents adultes, chez nos animaux comme chez nous, insidieusement, jour après jour, la plaque dentaire recouvre l’émail des dents. Elle est constituée de débris alimentaires et de bactéries dangereuses. Celles-ci se multiplient et détruisent la gencive et l’os dans lequel s’ancre la dent. Cette action a comme conséquence de progressivement détacher la dent de son support : le parodonte. Quand le parodonte est atteint, on parle de maladie parodontale. Dès que la plaque dentaire se forme, elle se minéralise et devient tartre, élément dur comme la pierre, qui irrite la gencive. Votre animal a mal aux gencives et aux dents, salive plus, son haleine devient nauséabonde. C’est généralement à ce stade tardif que le vétérinaire est consulté.

• Les conséquences de la maladie parodontale
Deux types de conséquences sont généralement observés, des conséquences locales, concernant la bouche et le nez, et des conséquences générales qui concernent des organes distants de la bouche.
Les conséquences locales sont : une mauvaise haleine, le refus pour l’animal de s’alimenter en raison de la trop grande douleur, la perte des dents qui se déchaussent, des abcès dentaires et fistules oro-nasales (abcès dentaire qui s’est percé dans le nez avec communication entre la bouche et le nez).
Les conséquences générales sont consécutives au passage de bactéries dangereuses dans le sang : une grande fatigue, de la fièvre, des maladies graves et sérieuses des reins, du foie et du coeur.

• Que faire contre la plaque dentaire ?
Deux moyens complémentaires existent : le détartrage, acte effectué par votre vétérinaire, mais aussi, un contrôle de la formation de la plaque, acte que vous pouvez réaliser régulièrement à domicile.
Le détartrage permet de casser puis d’enlever la plaque dentaire et le tartre déjà formés sur les dents. Il doit être suivi d’un polissage qui permet de rendre la surface dentaire lisse et plane.
Le contrôle de la plaque dentaire fait appel, comme chez nous, à deux moyens de lutte : le premier est le brossage et/ou le contact avec un élément abrasif doux (les lamelles à mâcher) qui permet de casser mécaniquement la plaque et le tartre au fur et à mesure qu’ils se forment ; le deuxième consiste en l’action d’une solution antiseptique qui va réduire le développement des bactéries de la plaque dentaire. Celle-ci va se former mais bien plus lentement. Les détartrages et bilans annuels, indispensables, seront donc effectués de façon plus espacés.

Elles peuvent être épointées, notamment chez les chiens qui les usent pas ou peu (les griffes des pouces et les ergots ne frottent pas sur le sol, certains chiens ont un mode de vie sédentaire …). L’épointage des griffes se fait préférentiellement au moyen d’un coupe-griffes. C’est une opération qui peut sembler délicate car la griffe est innervée et vascularisée. Il ne faut donc pas la couper trop court au risque de provoquer un saignement et une douleur.

L’épointage des griffes peut être réalisé à la clinique.

L’alimentation

Les besoins nutritionnels d’un chien ne sont pas les mêmes que ceux d’un homme.

Le chien a besoin d’une alimentation spécifique et équilibrée, adaptée à son âge, sa race, son activité physique et son état de santé. C’est pourquoi la ration ménagère, souvent déséquilibrée, est déconseillée.

La qualité de l’alimentation du chiot est particulièrement importante compte tenu de sa vitesse de croissance très élevée jusqu’à l’âge de 4 à 6 mois. Un déséquilibre nutritionnel chez le chiot peut conduire à des problèmes de santé, notamment ostéo-articulaires.

Le chien adulte aura des besoins différents selon son statut (stérilisé ou non) et son mode de vie (chien très actif ou sédentaire). Il convient donc d’adapter l’alimentation à chaque individu.

Une alimentation de qualité est enfin importante pour le chien senior ; elle permet en effet de lutter contre le vieillissement cérébral par l’apport d’anti-oxydants, de soulager les maladies articulaires par l’apport de chondroprotecteurs ou encore de ralentir le vieillissement des reins par l’utilisation de protéines adaptées…

L’idéal est de privilégier une alimentation sèche qui exerce une action abrasive sur la dent plutôt qu’une alimentation molle favorable au dépôt du tartre.

N’oubliez pas de toujours veiller à ce que votre chien ait à sa disposition de l’eau fraîche et propre. Sachez également qu’il faut éviter de donner à manger à votre chien lorsque vous êtes à table, pour des raisons comportementales. Le chien doit manger après ses maîtres.

La distribution des repas se fait en 1 (grands chiens) à 2 (petits chiens) repas par jour.

La clinique met à votre disposition des gammes d’aliments premium ayant toutes les qualités nutritionnelles pour répondre aux besoins de votre chien. 

Une balance est également à votre disposition pour suivre le poids de votre compagnon.

N’hésitez pas à nous demander conseil.

L’éducation

Le chien est un animal hiérarchique. Cela signifie qu’au sein d’un foyer, d’une famille, des relations hiérarchiques vont s’établir entre le ou les membres du foyer et le chien.

Il est donc recommandé, à travers certains actes simples, de placer votre chien d’emblée en position de dominé afin de pouvoir avoir le contrôle sur son comportement plus facilement.

Les recommandations de base pour instaurer une relation saine et équilibrée entre vous et votre chien sont les suivantes :

Concernant le repas : votre chien doit manger après vous, dans un temps limité (20 minutes suffisent). Il peut assister à votre repas mais il ne doit pas obtenir de nourriture lorsque vous êtes à table.

Concernant son lieu de couchage : il faut désigner un lieu de couchage fixe à l’animal. Ce lieu ne doit pas être un lieu de passage et ne doit pas permettre à l’animal de surveiller les allées et venues des membres de la famille (éviter les couloirs ou l’entrée du logement).

Concernant les contacts : votre animal aime probablement jouer et il réclame des caresses. Bien entendu, tout cela est positif. Cependant, il est important que lors des jeux ou des caresses, cela ne soit pas systématiquement votre chien qui prenne l’initiative. Il faut par moment savoir lui refuser un jeu ou une caresse pour bien cadrer le fait que vous restez celui qui décide dans la relation avec votre animal.

Concernant la sexualité : pour les mâles, il faut bannir toute manifestation d’excitation sexuelle : frottement sur les jambes des propriétaires, sur les coussins, manifestations de chevauchement …

Nous restons à votre service pour vous aider à mieux comprendre le comportement de votre chien.

La vaccination

Quand vacciner ?

Dans l’espèce canine, le nouveau-né est protégé par les anticorps de la mère, transmis par le colostrum (lait sécrété pendant les premiers jours de la lactation). Cette protection passive est provisoire et dure en moyenne 7 semaines. C’est pourquoi on démarre les premières vaccinations autour de l’âge de 2 mois.

Les principales maladies contre lesquelles on vaccine le chien sont :

Très contagieuse et toujours d’actualité, cette maladie est due à un virus qui touche les animaux de tous âges et son évolution peut être mortelle. Elle peut être à l’origine de fièvre, de troubles respiratoires, digestifs, oculaires, cutanés ou nerveux. Tous les symptômes ne sont pas nécessairement présents.

Cette maladie est due à un virus qui entraîne une maladie grave du foie se traduisant par une forte fièvre, une gastro-entérite avec parfois conjonctivite et oedème de la cornée qui apparaît bleutée.

Très contagieuse, cette maladie est due à un virus très résistant dans le milieu extérieur (jusqu’à 6 mois ! ). Un chien non protégé peut l’attraper en reniflant les déjections d’un animal malade. Les symptômes sont un abattement, une perte d’appétit, des vomissements, une diarrhée hémorragique à l’origine d’une déshydratation. Cette maladie touche les animaux de tous âges et son évolution peut être mortelle.

Très contagieuse et toujours d’actualité, cette maladie est due à un virus qui touche les animaux de tous âges et son évolution peut être mortelle. Elle peut être à l’origine de fièvre, de troubles respiratoires, digestifs, oculaires, cutanés ou nerveux. Tous les symptômes ne sont pas nécessairement présents.

Cette maladie est due à un virus qui entraîne une maladie grave du foie se traduisant par une forte fièvre, une gastro-entérite avec parfois conjonctivite et oedème de la cornée qui apparaît bleutée.

La rage est une maladie mortelle, transmissible à l’homme. Elle fait donc l’objet d’une surveillance sanitaire stricte. La vaccination contre la rage est obligatoire :
– pour les chiens séjournant dans des pensions, des campings ou des centres de vacances,
– pour les chiens de première et deuxième catégories,
– lors de voyages en Corse et dans les départements d’Outre-mer,
– lors de déplacement à l’étranger.
Attention, pour être vacciné contre la rage, votre chien doit obligatoirement être identifié et posséder un passeport (délivré à la clinique).

Mais dans certains cas, il peut être très utile de vacciner aussi le chien contre :

Cette bactérie vient se greffer sur l’appareil respiratoire affaibli par le virus Parainfluenza et complique la situation. Tous les chiens susceptibles d’entrer en contact avec d’autres chiens sont potentiellement exposés (élevages, chenils, pensions, chasse… mais aussi chiens allant à l’agility ou en exposition).

Les symptômes (toux très douloureuse, éternuements, écoulements oculaires…) persistent souvent pendant plusieurs semaines. Le traitement est donc souvent long, compliqué et coûteux.

Il est donc essentiel de protéger votre animal contre les deux composantes de cette  maladie, notamment à l’approche des beaux  jours et des vacances : plus que jamais, votre animal est susceptible  de rencontrer d’autres chiens et de se trouver dans un environnement à risque.

Provoquée par un parasite du sang, cette maladie peut être transmise à votre chien par une tique, au cours de son repas sanguin. Les piroplasmes pénètrent dans les globules rouges et les détruisent, provoquant une anémie. C’est une maladie extrêmement dangereuse, inexorablement mortelle si le chien n’est pas soigné rapidement. C’est pourquoi il est absolument essentiel de lutter efficacement contre les tiques.

C’est une maladie grave du chien, qui est souvent fatale.Tous les chiens qui voyagent ou habitent sur le pourtour méditerranéen peuvent attraper cette maladie, très répandue, qui se transmet par la piqûre d’un moustique minuscule appelé phlébotome. Ce moustique transmet un parasite appelé leishmanie qui se dissémine dans les organes internes du chien et provoque une altération de son système immunitaire.

Les signes cliniques de la maladie sont très variables et n’apparaissent parfois que plusieurs années plus tard. On peut ainsi observer : fièvre, perte de poils (en particulier autour des yeux), amaigrissement, lésions de la peau et des griffes, anémie, atteinte des articulations, des yeux et des reins …

Les traitements antiparasitaires externes

Les parasites externes les plus courants chez les chiens sont les pucesles tiques et les moustiques.
Ce sont trois espèces de parasites hématophages qui se nourrissent en réalisant des repas sanguins sur l‘animal. Outre la spoliation sanguine réalisée lors d’infestation massive, ces parasites peuvent être à l’origine de différentes maladies.

Les puces sont ainsi responsables de démangeaisons, dépilations voire de plaies lors d’allergie ainsi que de la transmission de ténias (vers plats du tube digestif).

Quant aux tiques, elles peuvent entraîner la transmission de la piroplasmose. Cette maladie est due à un parasite qui détruit les globules rouges du chien. Il s’agit donc d’une affection grave, souvent mortelle si elle n’est pas soignée rapidement.

Les moustiques sont enfin des vecteurs de la leishmaniose, maladie qui fait des ravages sur le pourtour méditerranéen.

Pour sa santé, il est donc impératif de traiter votre chien très régulièrement contre ces parasites. 

N’hésitez à demander conseil à la clinique car il existe de nombreux produits disponibles mais qui n’ont malheureusement pas tous la même efficacité. 

Certains parasites plus rares sont essentiellement contractés en collectivité; il est donc important de réaliser une visite chez votre vétérinaire après l’adoption de votre chien afin de pouvoir dépister et traiter au plus tôt ces éventuelles parasitoses.

La vermifugation

On distingue deux types de vers :

Les vers ronds

• Les ascaris
Les ascaris sont des vers blancs qui peuvent mesurer jusqu’à 20 centimètres : ils ressemblent beaucoup à des spaghettis !
Les chiots en sont presque systématiquement infestés. Ils se contaminent soit directement dans le ventre de leur mère, soit en la tétant après la naissance.
Les ascaris sont des parasites qui peuvent se transmettre à l’homme.

• Les ankylostomes
Ce sont de petits vers que l’on observe très rarement dans les selles. Ils sont particulièrement agressifs pour la paroi de l’intestin.
Lorsqu’ils sont très nombreux, la quantité de sang qu’ils pompent est suffisante pour entraîner une anémie, voire le décès du chien.

Les vers plats

Il s’agit principalement du ténia (Dipylidium caninum) ou «ver solitaire». Il peut mesurer jusqu’à 80 cm. Ses segments sont éliminés dans les selles : ils ressemblent à des grains de riz. On les voit parfois dans les poils qui entourent l’anus. Les puces sont souvent porteuses de larves de ténia. En se toilettant ou en se léchant pour chasser les puces qui le démangent, le chien se contamine en les avalant. Pour débarasser votre chien du ténia, il est donc nécessaire de le traiter en même temps contre les puces.

Pourquoi vermifuger ?

Tous ces parasites peuvent entraîner des troubles plus ou moins graves sur la santé de nos compagnons.
Il convient de traiter préventivement, et systématiquement, car on ne voit que très rarement les vers dans les selles, même s’ils sont présents dans l’intestin.
Attention aux idées reçues : un chien qui mange de l’herbe n’est pas vermifugé. L’herbe ne tue pas les parasites présents dans le tube digestif ; manger de l’herbe permet simplement au chien d’évacuer les poils avalés lors de sa toilette du fait de son effet vomitif.

Quand vermifuger ?

Faites-le sytématiquement :
– pour les chiots : une fois par mois jusqu’à l’âge de 6 mois,
– pour les adultes : quatre fois par an.

Quel vermifuge utiliser ?

Suivant l’âge, le poids de votre animal, et vos habitudes, vous pouvez utiliser différentes présentations : comprimés, pâte contenue dans une seringue, liquide à mettre sur l‘alimentation … Mais attention, tous ne sont pas efficaces contre tous les types de vers. De plus, sachez que les produits réputés naturels, à base de plantes, d’ail … sont totalement dépourvus d’efficacité voire dangereux pour la santé de votre chien (l’ail est par exemple toxique pour nos animaux de compagnie car il est responsable d’une anémie).
Pour trouver un produit sûr, efficace et adapté à vos besoins, demandez conseil à la clinique.

La reproduction

La puberté

La puberté survient autour de 6 mois chez les chiens de petit format, plus tardivement chez les plus grands. Les femelles présentent en général deux périodes de chaleurs par an (environ tous les six mois) qui durent à peu près trois semaines. Les chaleurs se manifestent par des saignements au niveau de la vulve. Durant ces deux périodes de chaleurs, la femelle accepte l’accouplement avec le mâle. Il n’y a pas de ménopause donc les chaleurs se poursuivront jusqu’à la fin de la vie de la chienne. 

Contrairement à la femelle, le mâle est sexuellement actif toute l’année. Les mâles peuvent détecter des femelles en chaleurs à plusieurs kilomètres, ce qui est source de fugues et éventuellement d’accidents.

Faut-il faire reproduire son animal ?

Il faut savoir qu’il n’y a aucun intérêt médical ni psychologique à faire reproduire son animal. Il faut que ce soit une envie de votre part, sachant qu’une mise à la reproduction implique des contraintes pour le propriétaire.

La gestation dure environ deux mois
 et trois visites chez le vétérinaire sont recommandées pour un suivi correct de celle-ci :
• la première avant la mise à la reproduction pour un examen complet de la chienne et une vermifugation. La mise à la reproduction n’est pas conseillée avant l’âge de 2 ans pour les femelles.
• la seconde au bout d’un mois pour vérifier que la chienne est effectivement gestante et adapter son alimentation en conséquence (les besoins en énergie et en calcium augmentent fortement chez la femelle gestante).
• la troisième à  partir du 45ème jour de gestation, pour examiner la future mère, la vermifuger à nouveau et surtout pour réaliser une radiographie abdominale afin de compter le nombre de chiots et détecter d’éventuelles anomalies. Cette dernière visite est également l’occasion de vous délivrer tous les conseils pour la préparation et le suivi de la mise bas et de vous préciser les situations ou symptômes qui doivent vous amener à consulter.

Faire reproduire sa chienne demande donc de la disponibilité : il faut être présent pour surveiller la mise bas et pouvoir consulter à la clinique en cas de problème. Il faut enfin avoir à l’esprit que les chiots ne seront pas adoptables avant l’âge de 2 mois et qu’ils devront être vaccinés et identifiés à vos frais avant la cession. 

Les intérêts de la stérilisation

La stérilisation chirurgicale présente de nombreux avantages pratiques :

•  plus de chaleurs chez la femelle donc plus de saignements,
•  plus de risques de fugues (mâles et femelles) lorsque la femelle est en chaleurs,
•  arrêt des manifestations de sexualité tels que frottements sur les jambes, chevauchements d’objets … chez les mâles.

La stérilisation est également très intéressante pour la santé de votre animal.

En effet, chez la femelle, elle permet  :
•  de diminuer le risque de tumeurs mammaires,
•  d’écarter les risques de grossesse nerveuse,
•  d’écarter les risques d’infection génitale.

Chez le mâle, la stérilisation permet une forte diminution des maladies de la prostate.

La stérilisation s’effectue dès l’âge de 6 mois et contrairement aux idées reçues, il n’est absolument pas nécessaire d’attendre que la chienne ait eu ses premières chaleurs.

N’hésitez pas à demander conseil à la clinique.